Impôt sur le revenu : profiter des niches fiscales appelées à évoluer
Pascal et Cécile, deux jeunes actifs, paient un impôt sur le revenu conséquent. Ils désirent trouver des investissements qui correspondent à leurs projets de vie et qui permettent de forts gains fiscaux.
Le cas en détails
> Pascal et sa femme Cécile habitent à Clermont-Ferrand. Ils n’ont pas d’enfants.
> A eux deux, ils cumulent 11 000 euros de revenus net mensuels.
> Ils disposent ainsi d’une capacité importante d’emprunt et d’épargne.
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Pascal, 37 ans, et Cécile, 35 ans, habitent à Clermont-Ferrand. Ils sont mariés et n’ont pas d’enfant. Pascal gagne 7 000 euros par mois, Cécile 4 000 euros. Cette année, leur impôt sur le revenu atteint 24 716 euros.
Le couple :
- dispose d’une capacité importante d’emprunt et d’épargne
- souhaite investir dans l’immobilier
- mais ne veut pas acquérir de résidence principale, pour garder leur mobilité professionnelle
Pascal et Cécile désirent donc trouver des investissements permettant de forts gains fiscaux. Leur chargé d’affaires Gestion Privée leur propose donc de profiter des dispositifs 2010 avant des changements attendus, voire confirmés pour 2011.
Les SCPI pour éviter tout souci de gestion
Dans l’immobilier locatif par exemple, c’est la dernière année qu’ils peuvent profiter du taux de réduction de 25 % applicable dans le cadre du dispositif Scellier que les logements respectent ou non la norme BBC (bâtiment basse consommation).
En achetant pour 100 000 euros de parts d’une SCPI Scellier, ils bénéficieront dès la première année, et chaque année pendant neuf ans, d’une réduction d’impôt de 2 770 euros. Ils font l’acquisition de ces parts via un emprunt, dont le coût sera partiellement amorti par la réduction d’impôt. Ce choix leur permet également de se décharger de la gestion d’un bien dont ils auraient dû s’acquitter s’ils avaient opté pour un achat Scellier en direct.
Des placements aux gains fiscaux immédiats
Leur chargé d’affaires leur conseille ensuite d’allouer des montants moindres à des placements plus risqués, mais assurant en contrepartie des gains fiscaux élevés et immédiats. Conscients du risque, ils souscrivent deux parts de 5 700 euros dans un groupement forestier qui génèrent 2 850 euros de réduction d’impôt, investissent 24 000 euros dans des PME régionales via un FIP (Fonds d’investissement de proximité), soit 6 000 euros d’impôts en moins, et 18 000 euros dans des sociétés cinématographiques (Sofica) qui offrent 48 % de réduction d’impôt, soit 8 640 euros (1). Au total, ils arrivent à réduire leur impôt de 20 260 euros, tout en restant en deçà du plafonnement global. Il ne leur reste plus que 4 456 euros à régler.
(1) Selon la fiscalité en vigueur au 1er juillet 2010, sous réserve d’évolution.
Pour en savoir plus :
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